Article mis à jour le 23/02/2024
La carte titre restaurant et les commissions : on fait le point
Si vous avez une carte titre restaurant, il est probable que l’on vous l’ait déjà refusée au moment de payer votre repas au restaurant. Vous arrivez donc en caisse après avoir passé un très bon moment, vous sortez fièrement votre carte titre restaurant et là… 🙅♂️ “Désolé, nous ne prenons pas la carte titre restaurant !”. C’est un peu comme une douche froide, non ? 🥶
Mais alors pourquoi cela arrive ? Et pourquoi de plus en plus de commerces refusent ce moyen de paiement ? On vous explique tout. 👇
Titre restaurant : un casse-tête pour les restaurateurs 🤯
C’est la conclusion tirée d’une étude menée par Openeat et confirmée par plusieurs médias ces dernières semaines : 75% des restaurateurs trouvent que les commissions appliquées par les émetteurs de titres restaurant sont abusées. Raison pour laquelle, d’ailleurs, près de 20% des restaurateurs refusent désormais tout paiement en titre restaurant.
L’univers du titre restaurant vit alors une période troublée et ses impacts sur les restaurateurs ont même poussé le gouvernement français à annoncer la fin du titre restaurant papier d’ici fin 2025, à cause des commissions prélevées et de la galère administrative. En conséquence, selon notre sondage, 35% des commerçants considèrent que le papier est pénible à trier et 37% se plaignent des commissions excessives. 😫 Situation qui s’est notamment aggravée depuis mars 2023, avec la fermeture de la CRT (Centrale de règlement des titres).
Mais alors qu’on dit adieu au papier 👋, quid de la carte titre restaurant ? Ce modèle est-il plus simple et plus juste pour les restaurateurs ?
Carte titre restaurant : quand un avantage salarié devient un inconvénient commerçant
Bien que la carte titre restaurant soit plus pratique au quotidien que le papier (même si pas tellement plus souple à cause de son système de prépaiement), elle ne semble guère résoudre les problèmes vécus par les commerçants. Bien au contraire…
Parmi les problèmes soulevés on retrouve notamment :
- Des difficultés à utiliser sa carte titre restaurant pour 65% des utilisateurs, en raison des incompatibilités avec les terminaux de paiement électronique (TPE) des commerçants ❌ ;
- Les longs délais d’attente en caisse générés par la limite de paiement à 25€ par jour, car les clients sont souvent obligés d’effectuer deux transactions (en complétant le paiement avec leur propre carte bancaire ou en espèces) ⏱️ ;
- Et le pire dans tout ça : pour 71% des restaurateurs, les commissions prélevées par les émetteurs sur chaque repas payé en carte titre restaurant sont excessives 🤑.
Au delà de tout ça, le contexte actuel nous amène à nous poser la question suivante : est-ce bien raisonnable de faire payer aux commerçants des commissions aussi élevées (souvent entre 4% et 5%) sur ce qui est censé être un avantage salarié ? Est-ce qu’un modèle plus équilibré ne pourrait pas exister ?
Alors si vous souhaitez utiliser vos titres restaurant sans ruiner les petits commerces locaux, peut-être que la carte n’est pas la meilleure solution pour vous !
Openeat, un titre restaurant plus juste pour tous !
On a demandé aux restaurateurs quel serait le montant de commission juste pour un titre restaurant, et les résultats montrent que la limite psychologique se situe entre 1% et 2%. Passons maintenant aux bonnes nouvelles ! 🥳
Openeat a enfin créé un titre restaurant juste pour les restaurateurs, et qui leur facilite la vie au quotidien :
- Seulement 1,5% de commission ;
- Pas de carte supplémentaire, pas d’attente supplémentaire en caisse ;
- Paiement immédiat et transparence sur les frais associés.
💡 Et pour découvrir les avantages d’Openeat pour les salariés, c’est par ici. Prêts à passer au titre restaurant le plus simple du marché ?
À retenir :
✅ Dites bye-bye au titre restaurant papier : ce format va disparaître d’ici fin 2025.
✅ Les restaurateurs sont frustrés du modèle actuel des titres restaurant, qui implique notamment des commissions trop élevées.
✅ La carte titre restaurant est actuellement refusée par 27% des commerçants.
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